Une fois par semaine, il sort de chez lui et de ses gonds. Quelque part. Sur une place. Il marche, bouge, flotte, crie, ose enfin quelque chose. Il se lâche, se dégraisse en quelque sorte. Fuyant sa quiétude organisée, affrontant son inquiétude...
Dans chaque forêt, existe un endroit où le temps s’arrête, c’est le cœur, la respiration, l’âme de la forêt, un lieu où les hommes ne vont jamais, non que l’entrée leur soit interdite, mais l’accès en est tellement improbable... Là, vit un petit...